Aujourd'hui, on y va en amour pour le plaisir de vos yeux chers lecteurs. Pour une historicité du texte, j'ai pu avoir une conversation avec une fille très amoureuse de mes textes et brusquement les choses se sont changé en sensuelle. Vous allez découvrir Guyveco et une fille dans "On a suivi l'amour".
La fille: Cela a commencé le jour où je t'ai vu pour la première fois, c'était comme si j'étais prise dans un tourbillon de la puissance d'un champ magnétique, mon moteur ne voulait pas démarrer. Je faisais mon caprice, car j'ignorais cette partie faible en moi... Étonnante, je me suis laissé aller sans même regarder ou j'étais avant et cela m'a emporté comme le vent.
Guyveco: Tu t'es fondu avec le vent et tu as suivi ses mouvements pour ne faire qu'un avec moi. Moi, le boisson qui t'enivre et que sans moi tu ne peux vivre. Il t'a emporté dans l'étendue pour planer au dessus de tout.
La fille: Et c'est à ce moment là, que je me suis rendu compte que je n'étais pas moi même, j'ai pu voir dans tes yeux tout ce que tu voulais me dire ou me faire.
Guyveco: Tu as permis mon moi de s'exprimer à travers toi. Tu deviens moi et je deviens toi. Tu es mon secret, ma complice. Je te cache dans mes expressions, mes maximes et mes métaphores.
La fille: Ça n'a pas été une chose facile mais on a su nous laissé faire au temps voulu, je voulais dire que je ne veux pas continuer à être sa victime, mais c'était plus fort que tout.
La fille: Avec le temps, j'ai appris à le connaître, je ne sentais pas la force de cet amour si timide qui nous circulait et cela a été un moment inoubliable en se regardant dans les yeux, mon coeur battait à un rythme incroyable, mes pourpiers n'ont pas arrêté de se frapper l'un contre l'autre, les sueurs sortaient à une vitesse énorme au dessous de ma peau si souple et si douce, je tremblais tellement qu'il a perçu que c'était réciproque. mais ouff! C'était malléable car on a su tout partagé.
Guyveco: Plus fort que partager une bonne glace avec quelqu'un qu'on aime, elle incarne mon esprit, elle est tatouée dans mes neurones et tu te retrouves dans chaque circulation, chaque battement, chaque veine et chaque vaisseau. Je t'apporte le courant, libère tes électrons et pénètre tes atomes. Je voudrais te façonner à ma manière pour être en toi dans la totalité, te posséder. J'étais impuissant de faire taire cette envie qui me porte vers toi.
Guyveco: Et je t'apportais ce baiser, tu me faisais monter et descendre sur ton corps léger pendant qu'on danse sur la chanson de Mizik Mizik(Map danse avew santim gen tan prale....). Je sentais chaque partie de ton corps qui s'exprimait pour dire quelque chose, il criait de fous soupirs étant soumis à ma volonté, il voulait dire continuer et arrêter simultanément. Je prenais mon temps pour mesurer chaque centimètre de ton corps. La fille: Me laisser aller et fondre dans tes bras, c'était ma seule volonté de cette soirée, la chaleur de ton corps, me vibrant à un tel point que je me suis oublié moi même, mes yeux tournant de gauche vers la droite, j'avais qu'une seule chose à faire celle d'accepter l'expression de tes lèvres sur les miennes, d'être soumise à ses volontés.
Guyveco: Je te serrais si fort dans mes bras, comme si je ne voulais pas que tu files entre mes mains, j'étais dans mon bain de miel en symbiose avec toi. Tu étais devenu un instrument que je jouais à la perfection, à chaque note tu émettais un son limpide qui m'excitait à jouer plus rapide, à jouer au plus que parfait.
La fille: L'envie m'ordonne, et me pousse à me mettre sous tes ailes, en me condamnant de ta présence qui me fait vivre les meilleurs moments de toute ma vie, me caressant l'oreille, mon coeur souffle de tendresse car rien ni personne m'a fait vivre ce moment de rêve.
Guyveco: Je joues encore, je commence à m'épuiser, les dernières notes sont celles qui se font dans la douceur et dans la beauté. Nos sens se sont ravi, on se regarde et on repasse ce moment qui semblait être éternel mais qui n'a duré qu'un feu de paille. Mes mains dans tes cheveux, je te cite les mots d'amours d'Arthur Rimbaud, de Moravia en te promettant que la prochaine fois qu'on fera l'amour en créole.
"Il est de ces amours qui rien ne désespère, si fort était celui qui nous a uni." Si l'amour vous demande de le suivre, suivez-le.
Auteurs: Sophonie Lysius(Sophie) et François John Guyve (Guyveco)
La fille: Cela a commencé le jour où je t'ai vu pour la première fois, c'était comme si j'étais prise dans un tourbillon de la puissance d'un champ magnétique, mon moteur ne voulait pas démarrer. Je faisais mon caprice, car j'ignorais cette partie faible en moi... Étonnante, je me suis laissé aller sans même regarder ou j'étais avant et cela m'a emporté comme le vent.
Guyveco: Tu t'es fondu avec le vent et tu as suivi ses mouvements pour ne faire qu'un avec moi. Moi, le boisson qui t'enivre et que sans moi tu ne peux vivre. Il t'a emporté dans l'étendue pour planer au dessus de tout.
La fille: Et c'est à ce moment là, que je me suis rendu compte que je n'étais pas moi même, j'ai pu voir dans tes yeux tout ce que tu voulais me dire ou me faire.
Guyveco: Tu as permis mon moi de s'exprimer à travers toi. Tu deviens moi et je deviens toi. Tu es mon secret, ma complice. Je te cache dans mes expressions, mes maximes et mes métaphores.
La fille: Ça n'a pas été une chose facile mais on a su nous laissé faire au temps voulu, je voulais dire que je ne veux pas continuer à être sa victime, mais c'était plus fort que tout.
La fille: Avec le temps, j'ai appris à le connaître, je ne sentais pas la force de cet amour si timide qui nous circulait et cela a été un moment inoubliable en se regardant dans les yeux, mon coeur battait à un rythme incroyable, mes pourpiers n'ont pas arrêté de se frapper l'un contre l'autre, les sueurs sortaient à une vitesse énorme au dessous de ma peau si souple et si douce, je tremblais tellement qu'il a perçu que c'était réciproque. mais ouff! C'était malléable car on a su tout partagé.
Guyveco: Plus fort que partager une bonne glace avec quelqu'un qu'on aime, elle incarne mon esprit, elle est tatouée dans mes neurones et tu te retrouves dans chaque circulation, chaque battement, chaque veine et chaque vaisseau. Je t'apporte le courant, libère tes électrons et pénètre tes atomes. Je voudrais te façonner à ma manière pour être en toi dans la totalité, te posséder. J'étais impuissant de faire taire cette envie qui me porte vers toi.
Guyveco: Et je t'apportais ce baiser, tu me faisais monter et descendre sur ton corps léger pendant qu'on danse sur la chanson de Mizik Mizik(Map danse avew santim gen tan prale....). Je sentais chaque partie de ton corps qui s'exprimait pour dire quelque chose, il criait de fous soupirs étant soumis à ma volonté, il voulait dire continuer et arrêter simultanément. Je prenais mon temps pour mesurer chaque centimètre de ton corps. La fille: Me laisser aller et fondre dans tes bras, c'était ma seule volonté de cette soirée, la chaleur de ton corps, me vibrant à un tel point que je me suis oublié moi même, mes yeux tournant de gauche vers la droite, j'avais qu'une seule chose à faire celle d'accepter l'expression de tes lèvres sur les miennes, d'être soumise à ses volontés.
Guyveco: Je te serrais si fort dans mes bras, comme si je ne voulais pas que tu files entre mes mains, j'étais dans mon bain de miel en symbiose avec toi. Tu étais devenu un instrument que je jouais à la perfection, à chaque note tu émettais un son limpide qui m'excitait à jouer plus rapide, à jouer au plus que parfait.
La fille: L'envie m'ordonne, et me pousse à me mettre sous tes ailes, en me condamnant de ta présence qui me fait vivre les meilleurs moments de toute ma vie, me caressant l'oreille, mon coeur souffle de tendresse car rien ni personne m'a fait vivre ce moment de rêve.
Guyveco: Je joues encore, je commence à m'épuiser, les dernières notes sont celles qui se font dans la douceur et dans la beauté. Nos sens se sont ravi, on se regarde et on repasse ce moment qui semblait être éternel mais qui n'a duré qu'un feu de paille. Mes mains dans tes cheveux, je te cite les mots d'amours d'Arthur Rimbaud, de Moravia en te promettant que la prochaine fois qu'on fera l'amour en créole.
"Il est de ces amours qui rien ne désespère, si fort était celui qui nous a uni." Si l'amour vous demande de le suivre, suivez-le.
Auteurs: Sophonie Lysius(Sophie) et François John Guyve (Guyveco)
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