Mon être est pétrifié de poésie qui parfois crée des rêves qui nous illustrent un imaginaire codé, rond et sans forme. Une poésie qui peint un désordre pictural, un simulacre de Frankétienne sur une toile avec le bout de ses orteils colorés.
Une poésie ensevelie de Charles Beaudelaire dans la voix au chapitre mélancolique de Charles Moravia. Une poésie lunaire qui imite le goût exquis des étoiles perdues dans l'univers, cité de poussières et de gaz qui sont créatrices de merveilles étudiées à l'université.
Une poésie qui fait des disputes: elle est belle de loin dit-on ou encore elle est loin d'être belle. Une poésie massacrée, martelée par un néologue génie de la démagogie structurale des faits d'esprits parce que la poésie s'appelle de la poésie.
Ma poésie est masturbante et singulière pendant que Dieu seul me voit, elle cherche son orgasme pluri-dimensionel avec force, dans une souffrance si douce pour enfin éjaculer au dehors. Elle veut dépasser le cadre d'Haïti. Une poésie attirante, magnétique et unificatrice qui relie le pôle nord à celui du sud.
Une poésie qui se bat comme fer pour se mettre à la rouille, elle est spirale ne savant pas où elle va pourvu que le bon vent souffle. Une poésie qui se débat, volant, errant sans ses ailes.
La Poésie t'ouvrira les horizons
Guyveco
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