Passer au contenu principal

Team Puceau ou frères de coeur

                                      
                                                       

Kerven Cantave, Jerry Dubréus , Rodolson Jeanty, Jean Patrice Holly et John Guyve François sont comme les pions d'un échiquier automatique parfois ils attaquent à tour de rôle, mais fort souvent ils le font ensemble.

 Ils se transforment en un pentagone, ils sont 5 à pouvoir tout faire. Ils sont de caractères bien différents et pourtant ils font de l'athlétisme en équipe dans la boue marécageuse de la vie comme s'ils couraient sur une plaine en terre battue.

Pendant que la vie entrainent le commun des mortels à monter le ciel par dos, eux-mêmes, ils font la course en donnant dos à la ligne d'arrivée sans s'inquiéter des embûches. On dirait des fils de la poule blanche tandis qu'ils se battent dur comme fer pour passer de l'eau au beurre. Par moment, leurs tripes sont entremêlées, detripées par la faim et donc ils inventent des trucs bidons, des jeux trippants afin de tripoter le corps de la vie en cherchant son point sensible surtout en pinçant sa peau dure pour qu'elle puisse lancer un sourire du coin de ses lèvres.

Ils sont potes, ils se supportent. Ils se baladent dans l'escalade de cette haute montagne pour atteindre le sommet.

Je ne vous apprends rien en disant qu'ils sont des pois qui bouillent et qu'ils vont crever à la fin. Mais quand ce jour viendra, la terre se modira sûrement quand elle s'ouvrira pour le retour de ces rivières à leurs sources convergentes, ces rieurs-sérieux comme on le dit.

Guyveco et ses frères de coeur et fucker à la fois. Merci Erline pour le coup de main.

JohnGuyve François (Guyveco)
fjohnguyve@gmail.com 
                                       



Commentaires

Messages les plus consultés de ce blogue

Eddy Est Immortel

Du matin au soir La joie jouait dans ta cour Le bonheur, Pour le respect de la parole donnée  Se reposait dans tes éclats de rire En toute quiétude On refait ton chemin Avec nos bras Amas d'amour On reconstruit le rêve  Du demain des enfants Sans trembler devant le présent Avec la mesure de ton charme On appréhende la première goutte Des pluies abondantes Car C'est au mauvais temps Qu'il faudra semer Les bonnes graines d'humanité Ainsi va la vie Qui t'a reconnu "Immortel"   Guyveco

Sans Culotte

Tu es sans culotte ! Tu as toujours été considérée comme une Femme, une Femme fébrile qui se laisse tripoter par tous, il suffit d'un je t'aime à la con pour que tu laisses tomber ton fromage. On te promet toujours de belles choses, de beaux vêtements, des bijoux et tous les accessoires de beauté pour enfin que ton corps connaisse du vrai tissu qui l’embrasse, du bon parfum qui lui est aspergé et un bon bain qui le reverdisse de fraicheur. Mais ce que l'on fait toujours, c'est qu'on t'amène dans un magasin de vêtements pour femme et on te loue tout ce que tu veux, et toi tu penses qu'on te les a tous achetés, mais après quelques jours tu seras encore dénudée quand on viendra les réclamer.  Tu possèdes un grand appareil à deux tranches qui ne se trouve pas sous ta culotte depuis un certain temps. Il vogue en plein air, il erre dans les rues de Port-au-Prince, dans les quartiers populaires, les banlieues, les ghettos ainsi que les villes de provinces...

Une lettre à ma mère

Ce qu'il me faut maman, c'est un café. Une bonne tasse de café comme celle qui m'attend chaudement chaque dimanche matin, sous le ciel de lambi 3. Ce n'est pas quelque chose que je peux expliquer, mais l'homme que je suis devenu a besoin d'un généreux café prêt à lui offrir du temps. Du temps emballé dans un papier cadeau qui lui garantit une réflexion capable de pénétrer dans les allées des mots et des pensées. Ainsi, ce vrai café que tu aimes faire couler pour abreuver l'âme d'un fils ; je le sens toujours dans les phrases que j'aime maman.    Contrairement à Jean D'Amérique, le meilleur poète de sa génération, je n'aurai pas tout mon temps pour vieillir. J'essaie en ce moment de servir de cadre au poème pour croiser le regard des amours inévitables. Et sur mon coeur, je forme une stéréo au nom de l'espoir pour enfin moduler ma voix interne dans le mouvement des émotions. Je te lis le poème comme suit : 《 Libre aux arbres de danser...