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Messages

Affichage des messages du novembre, 2020

Je déteste les concours de beauté

  Un concours de beauté, c'est quoi ? En fait, Wikipédia le définit comme un concours dans lequel les participantes – ou plus rarement les participants – doivent répondre à certains critères esthétiques. Ah bon ! C'est sûr que les hommes et les femmes ne sont pas prêts de mourir moins con.   J'essaie de quintessencier mes idées dans une salle interrogatoire afin de dénicher quelques réponses persuasives sur ce qui fait la beauté d'une femme et ce qui rend celle-ci belle, ou encore, ce qui porterait une autre à posséder une plus grande gamme de beauté.      La beauté est peut-être coriace quand il s'agit de lui trouver une définition. La raison est simple pourtant, le mot est tellement perceptible par l'esprit humain si bien que son sens n'ait guère besoin d'être explicité par d'autres mots afin de poindre sa clarté. Ce qui importe, c'est l'image qui survient à l'esprit de celui ou celle faisant allusion à la beauté.    Je veux me mouil...

Le plaisir est jeune

  De nouvelles couches de plaisir naissent sur la toile. Et le tableau gagne quand même son pari contre la beauté. Il pleut sur port-au-prince des canettes de bière, du vin bon marché, alors c'est un signal fort ; et il traduit que le sol se saoule pour qu'il soit léger sous nos pas alourdis par notre capacité de réapprendre à survivre.   Par ailleurs, des envies de liberté mûrissent dans les esprits fêlés, par ce qui est à la mode. Pendant que je vois des murs en construction, ces murs qui veulent bloquer le regard des autres. Les idées se résument à dire qu'il est temps de vivre dans un monde séparé, sans river les yeux sur le voisin, en d'autres termes, que chaque bourrique braie dans son pâturage. Maintenant, peut-on réprimander l'humanité de toujours jouer au juge ?   Je pense aux corps des jeunes filles mis à jour, à la tête du week-end qui invite le plaisir et toute sa bande à débarquer dans les bars sans bazar, les piscines surdosées de chlore et les hotel...

C'est bête de faire la fête

 Le mois de décembre est proche. Je suis heureux jusqu'ici de voir arriver à grand pas la fin de l'année malgré l'insécurité, la dépréciation du dollar américain et les problèmes à moitié résolu qui se font la gueule sous nos yeux. Entre autres, une chanson laisse comprendre que les gens de la diaspora dorénavant se démerderont tout seul pour rentrer chez eux, une fois arrivés à l'aéroport; parce que les membres de leurs familles ou leurs amis ne viendront pas les chercher, ils n'auront pas d'autres choix que de prendre un taxi-moto.   Je suis sûr que l'accueil ne sera pas chaleureux pour 2021 ; on réfléchira deux fois avant de souhaiter les meilleurs voeux à l'autre, et les "bonnes années" se feront un peu rare. Par ailleurs, j'envie déjà tous les couples qui vont chanter vive le vent d'hiver pendant qu'ils se serviront de leurs corps pour se réchauffer pendant que moi, je devrais porter des vêtements qui sont loin d'être aussi...