Un peu plutôt dans la
journée, on était à la plage Céline et moi. Je n'ai point tenté de
radiographier son corps dans l'eau. Je suis pudique. Elle le sait. J'aurais eu
un sentiment de gêne à cause du regard des gens, remarquant que nous soyons
restés collé-serré pendant trop longtemps, ils auraient vite compris que nous
coïtons. Je suis un homme timide. Heureusement, je ne suis pas le seul à faire
du sexe une affaire strictement intime. De toute façon, Céline portait un
collant, il couvrait son sexe et il me serait difficile de porter mes doigts
dans sa tirelire, sous ce collant. Je hais quand les femmes portent des
collants.
Céline savait que je
voulais me loger en elle. Elle avait accepté mon invitation d’aller à un hôtel
après la plage. Une baise ne serait pas de refus pour clôturer cette journée de
plaisir en beauté. J’étais heureux de briser ce long cycle d’abstinence qui
avait trop duré. J’arrivais à ce motel au nom assez surprenant
« zèklè », les gens qui y sont déjà allés connaissent bien l’adresse.
J’ai monté les escaliers sans penser aux deux heures de temps octroyés pour la
partie de plaisir que j'allais justement vivre avec Céline que je tenais par la
main.
Je l’ai mise à nue. On
était en costume d’Adam. Je lui faisais l’amour les yeux fermés. Après avoir
sucé ses seins (j'adore les femmes aux petits seins) et visité sa chambre
intérieure avec ma langue. J’arrive sans effort sur le merveilleux bouton de son
ventre plat pour y miser tout le sucre de mes lèvres. Le souvenir de ce corps
gracile dévoilant ses secrets subsiste encore à mes yeux malgré moi. Je dirige
mon sexe vers sa fleur pour signer mon entrée triomphale dans son juteux
appareil à deux tranches. Elle décide d'éclipser dans un rien de temps cet
extraordinaire moment, en m'offrant le mauvais spectacle de la fermeture de ses
jambes ; elle arrivait à les garder très serrées tout d'un coup. Je suis
dans une belle merde, me dis-je, ma tête me répétait déjà que le temps perdu à
la regarder longuement pour la déshabiller des yeux n’aura servi à rien.
Son refus catégorique de ne
pas laisser ma verge pénétrée son jardin a semé des grains de colère dans mon
esprit. Je fixe le plafond et les 4 murs de la petite chambre d’hôtel, témoin
de cette déception, il aurait été joyeux d’entendre gémir Céline comme la fille
qui était là avant elle. Plus grande est la déception pour mon pénis qui était
proche de visiter son 8e vagin(lol).
Pour compenser son acte
odieux, elle me taille une pipe pour la deuxième fois. J’ai joui dans sa bouche,
histoire de me venger. Après de nous avoir rhabillés, nous quittons le motel.
Nous avons marché un petit peu avant de lui payer un taxi pour rentrer. Et moi,
je m’en vais malheureux.......
Guyveco
fjohnguyve@gmail.com
Commentaires